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joker-x-harley-forever

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Création : 11/03/2014 à 18:31 Mise à jour : 07/08/2014 à 19:27

Blog de joker-x-harley-forever

Je crois que j'ai un réel problème avec ce couple, surtout avec les joker. Il me fascine et ce n'est pas très compliqué à comprendre quand ont voit le personnage de malade que c'est.
Donc me voilà avec mon obsession en mal de fiction compétente, je dis pas que la mienne en sera une mais elle me satisfera et j'espère vous faire plaisir par la même occasion .

J'en oublie mes bonnes manières voici une fiche de présentation :

Mon prénom : pour vous ce sera Bourriquet ^^
Mon nom : ----->
couleur de mes yeux : marrons vert, jaune o_O
couleur de mes cheveux : noir et rouge
couleur préféré : rouge ! ( c'est évident )
signe astrologique : Gémeaux ( double personnalité mwhahahahahaha schyzo dans l'âme)
Musique : rock, metal pour la plupart mais aussi du dubstep, de l'electro.
Groupe: Nirvana, metallica, muse, linkin park, BVB, Evanescence, paramore etc...
salé/ sucré : sucré ( vive le chocolat bordel !!)
Serie : Game of throne, American horror story, vampire diaires, true blood ect...
passion: le dessin et l'écriture, et en ce moment Mr J x HQ

Voila voila les ptits monstres j'espère que ça vous éclaire sur ma personnalité de dingue.

FANFICTION 


introduction:


Normalement, je devrais déjà être morte.
 
Vous savez comme j'imaginais ma mort ?
 
Entourée de mes petits enfants, bien au chaud dans mon lit, les rides de la vie maquillant mon visage blafard, un sourire triste et parfaitement heureux à la fois, la tête haute, les yeux fixant un point invisible sur le plafond la où la pâleur de la mort n'attendrait plus que mon dernier souffle pour recouvrir mon visage.
 
Oui j'avais imaginais tout ça ! Il fallait avouer que j'étais une femme qui aimait entrevoir le pire, de sorte à n'avoir que de belles surprises.
 
Mais la vie à décidait de me jouer un tour, un vilain tour, auquel je ne m'attendais pas, auquel personne dans ce fichu monde ne pouvait s'attendre.
 
 
 
Je suis sur que cela vous est déjà arrivé , ça arrive à tout le monde un jour ou l'autre. Je me suis toujours demander comment avec leur complexités, leur diversité et tout leur mécanismes tortueux les êtres humains parvenaient toujours à se fondre les uns dans les autre, leur doutes, leur peurs, leur attitudes se mélangeant de façon totalement chaotique et parfaitement identique.
 
 
 
Est ce que cela vous es déjà arrivé de croire que toutes vos joies, vos peines, vos jeux, votre enfance, vos pensées, votre misérable vie ne sois qu'un rêve ?
 
 
 
Ah vous voyez tout de suite de quoi je veux parlais n'est ce pas ?
 
 
 
Et que ce serait t - il passait ensuite, vous vous réveilleriez dans un autre lit, votre esprit allongé dans le corps d'une personne que vous n'avez jamais vu et dont le visage est soudainement devenu le votre aux cotés de quelqu'un avec qui vous ne voulez pas à voir affaire.
 
Ou alors vous vous réveilleriez plutôt comme si une autre vie commencées dans une réincarnation infini , dans le corps d'un bébé, celui que vous étiez il y a fort longtemps et qui par miracle vous à fait vivre toutes votre vie en une fraction de seconde.
 
 
 
Et là je vous vois en train de vous glacer d'effrois en comprenant ce que j'ai du vivre.
 
 
 
Ah Ah vous devriez voir vos têtes !
 
 
 
Je dirais que j'ai vécus un mélange assez exhaustif des deux, et croyez moi ce cocktail là à était le pire à avaler.
 
 
 
Dans une autre vie ( sans mauvais jeux de mot ) j'étais neurochirurgiennes, ma passion !
 
Je n'avais pas de troubles mentaux, je n'étais pas particulièrement attiré par le sang et la cervelle bien qu'un certains goût pour le macabre m'aie était attribué depuis ma plus tendre enfance, mon seul véritable objectif était de sauver des vies.
 
Et c'est ce que j'ai fait pardi !
 
Plus d'une fois, des dizaine de fois..Que dis je des centaines !
 
J'ai eut de très grand sucées de parfait sucées, je raflais les prix de la concurrence, j'étais la plus adulée, la plus respectée, la plus enviée et surtout la plus demandée et je jouissais de cette gloire.
 
C'est vrai, qui ne rêve pas d'être inondé de cadeaux et d'acclamations dès qu'il passe quelques part parce que ce qu'il fait est considéré comme extraordinaire alors que pour lui ce n'est que chose naturelle.
 
 
 
Ne mentez pas je vous vois rougir !
 
 
 
Malheureusement tout n'était pas que beauté, sinon que serait ma vie, je ne suis pas encore tombée dans la démence et je peux raconté mon passé sans me prendre pour un joyeux personnage du monde des bisounours.
 
Hélas, que serait la joie sans la déception, la bonheur sans l'amertume, le blanc sans le noir...la vie sans la mort.
 
Et c'est certainement parce que des contraires existe pour tout que nous apprenons depuis toujours à aimer ce qui nous ai offert à chaque instant de notre vie.
 
J'aimerais pouvoir dire que tout mes patient sont sortis vivant de mon hôpital mais ce serait un affreux mensonge, certains sont sortis les pieds en avant.
 
Et comme toute personne qui se respecte j'en ai souffert.... terriblement souffert.
 
Vous voyez j' étais un peu comme une artiste contemplant sa toile, sur laquelle elle s'acharne depuis des jours en imaginant chaque instant un résultats plus merveilleux, avec dégoût parce qu'au lieu d'y voir palpiter la vie et l'expression dans les yeux ce n'est qu'un gris foncé innommable qui inonde les figures.
 
 
 
Je l'avoue ce soir là j'ai grave déconner.
 
 
 
Moi qui depuis toujours luttais contre les drogue, qu'elle sois légales ou illégales, empêchant mes amies de repartir s'ils avaient bus plus de deux verres, écrasant les paquets de cigarettes sur la tête de mon meilleur ami que j'avais auparavant sortis de la drogue.
 
Et bhen c'était bien moi qui m'apprêtait à prendre la voiture alors que j'étais empéguée comme pas permis, avec plus du double de ce qu'il faut comme alcool dans le sang pour vous voir retirer le permis. Comment je le sais ? J'ai quand même soufflais le ballon...Mais aller savoir pourquoi je me suis crut capable de prendre le volant.
 
Vous vous rappelez quand je vous ai dit que j'aimais imaginais le pire pour ne jamais être déçut, oui oui je sais c'est étrange pour une femme de mon âge de faire ce genre de chose et encore pire quand j'avais dix sept ans et que je sortais j'imaginais un pervers sortir de chaque ruelle que je passais, me violant et laissant mon cadavre pourrissant dans un benne à ordure jusqu'à ce qu'un clochard fouille à l'intérieur espérant trouver des restes que la société lambda n'aurait pas consommer parce que la date de péremption est dépassée. Au lieu de ça se serait mon corps nu et meurtris qu'il aurait découvert et là il y aurait eu ma photo au informations pour retrouver ma famille et des agents semblable à ceux des expert seraient venus les interroger sur mes ennemis potentiels.
 
Quand je vous disais que j'avais un goût prononcé pour le macabre !
 
Enfin bref tout ça pour dire que cette fois là je ne l'ai pas vu venir, et pourtant c'était tellement évident... le scénario parfait ! Dite que c'est à cause de l'alcool moi je dis que c'est un signe.
 
 
 
Alors je me retrouvais là, dans un champs, ma voiture bleu métal dans une position complètement improbable, le par brise en mille morceaux dont quelques uns flanqués dans mon corps, qui vu son état ne me permettait pas de bouger.
 
Mes pauvre années de vies, mes trente deux ans s'accumulait sur le sol au rythme des giclaient de sang qui se répandait éloignant la vie et amenant la mort alors que je ne me rendais même pas encore compte que je venais de faire un accident en essayant d'éviter un chat.
 
Voila ce que cette enfant m'avais fait.
 
Vous vous demandez de qui je parle ?
 
 
 
Je parle de ce qui fut la dernière patiente de Emma Morales.
 
 
 
Une gamine qui venait d'arriver au État Unie, éloignée d'urgence de son pays, un pays d'Afrique subsaharienne si je me souviens bien, des causes de la guerre, la pauvre enfant avait passé toutes sa vie dans des conditions pitoyable et toxique, attaquant son système nerveux et provoquant des trouble physique et affectif.
 
La maladie s'était répandue en elle, attaquant les tissus cérébraux.
 
Et pour une raison que j'ignore encore à ce jour aucune de mes thérapies et de mes soins n'ont pu la sauver.
 
 
 
Les infirmiers l'ont retrouvé là, allongé dans son lit, endormis paisible et magnifique, elle était étincelante mais la vie s'était échappée d'elle, emportant la mienne par la même occasion.
 
Cette perte m'avais détruite et poussé dans ce bar, où l'alcool coulait à flots, m'entraînant dans ses eaux tumultueuse.
 
 
 
Emma wilson, trente deux ans, neurochirurgienne, célibataire, une mère pour seule famille, mort accidentelle. Voilà ce que les policiers ont écrit dans leur rapport après m'avoir retrouver vers 6h du matin quand le premier pechno de ce bled était sortit de sa ferme pour faucher les blé et qui avait vu apparaître au milieu de son champs, ma voiture et mon corps cabossé baignant dans mon propre sang.
 
 
 
Oui je sais, ce que vous voulez savoir ! Vous voulez que je vous dise si je l'ai vu, hein ?
 
 
 
Ouai je l'ai vu et elle est affreusement et horriblement tentante, pourquoi croyez vous que j'ai cédé ?
 
 
 
Elle était là penchée sur moi, la grande faucheuse, qui n'y ressemble pas, elle avait de grande ailes noir dans le dos, une peau blafarde, des yeux rouge, des cheveux blanc comme la neige et une robe de mariée noir.
 
Elle ma donnée son baiser mortel, et je suis restée dans la même position sans vie toute la nuit.
 
 
 
Enfin, tout du moins mon ancien moi.
 
 
 
Je suis revenue à moi quelques heures plus tard d'après les médecins, et alors que mes yeux papillonnait essayant de capter la lumière et de reconnaître les visage qui se penchait sur moi, je sentait que mon corps n'était pas le même, qu'il était différent.
 
Il me fallut quelques minutes avait de pouvoir me redresser et de comprendre que effectivement il était totalement différent.
 
 
 
Moi grande brune, forte, au yeux noir, plutôt typé espagnole,piquante, aux hanches large et à la forte poitrine, regardait mes maigres jambes blanche comme de la craies et mes petites mains de bébé.
 
Affolé je mis mes mains dans mes cheveux et paniquait encore plus en sentant leur texture douce et soyeuse, je ramenais une mèche devant mes yeux pour constatée que ce n'était pas les miens.
 
Je sentis mon estomac ce tordre de douleur face à l'angoisse et malgré les restrictions des médecins je me levais comme une furie pour me diriger dans la salle de bain.
 
Quelle ne fut pas ma surprise d'apercevoir dans le reflet une petite chose fragile au jolie boucle blonde d'à peine six ans. Instinctivement j'apportais les mains à mon visage, une petite bouille ronde de porcelaine au joues roses et aux yeux bleu ciel.
 
 
 
Mon cris alerta tout l'hôpital.
 
 
 
Je vais passer les détails, ce sera mieux pour vous et pour moi, mais pour vous faire cours, ce qui suivis ce cris à était la pire période de ma vie.
 
 
 
J'étais hystérique (en même temps comment ne pas l'être quand à 32 ans vous mourrez d'un accident de voiture avant de vous réincarner dans le corps d'une fillette de 6 ans.) et les médecins ont du me maîtriser. Ils m'ont administré une dose assez forte de calmants pour m'assommer pendant deux jours.
 
J'ai été ensuite interné dans un hôpital psychiatrique en section pédiatries une fois qu'ils ait conclut à un choc post traumatique après que je leur ai raconter ma version des fait. En même temps je ne leur en veux pas trop, qui croirait une gamine de 6 ans qui vient de perdre toute sa famille dans un accident de voiture et qui prétend être une neurochirurgienne de trente deux ans qui a un peu forcer sur la bouteille.
 
C'était insensé ! Et pourtant...c'était la vérité.
 
 
 
Ils ont même réussis à me faire douter, à me faire croire que je racontais des idiotie et que j'étais folle, surtout lorsque ma tante, celle qui devait avoir ma garde à ma sortis de l'asile, venait me montrer des photos de mon enfance, de ma vie passé, me racontant mon histoire et celle de ma prétendue famille, dont je ne me souvenais pas.
 
J'ai donc appris à faire semblant, semblant de me rappeler, d'aller mieux, d'être triste de leur pertes et de vouloir rentré chez moi en embrassant ma tante, cette inconnue dont je me servais pour m'enfuir à la première occasion.
 
Six mois furent de rigueur pour qu'aux yeux des médecins je retrouve mes esprits.
 
Tant de temps dans cet environnement que je crus devenir marteaux pour de bon cette fois.
 
 
 
Mais je crois que c'est lorsque j'ai sut qu'elle était le nom de l'asile dans lequel j'étais interner et le nom de la ville où j'habitais que je crut mourir de stupeur, c'était un véritable cauchemars, ou un rêve, je ne sais pas ça dépend des gens. Certains aurait rêver être à ma place et pourtant je vous garantit que ce n'était pas un cadeau et que j'ai maudit des génération entière de m'être retrouvée la.
 
Vous ne savez pas ce que c'est,et je ne le souhaite à quiconque, d'être enfermée dans un corps qui n'est pas le siens, avec un mental d'enfant alors que vous êtes adulte depuis longtemps, d'être obligée de réagir comme des enfants normaux alors que vos capacités dépasse celle de toutes les personnes de cet asile réunis, de faire croire en votre bonne santé mental alors que vous taillez les veines vous semble parfois la meilleure des solutions.
 
 
 
M'enfin bon je m'y suis habituée, j'ai retrouvé l'appétit, j'ai appris à aimais ma pseudo famille qui, il fallait le dire, avait quand même bien pris soins de moi, j'avais grandis, réappris tout ce que je savais déjà et bien sur j'ai sauté des classes ne montrant qu'un pale reflet de l'intelligence enfouis en moi. Et vous savez quoi j'ai eu mon diplôme pour la deuxième fois trois ans avant l'age moyen.
 
Mais bien sur que serait la vie sans un brin d'humour, ironie du sort je me suis retrouver avec un poste de psychiatre offert dans l'asile ou j'avais été internet étant petite. ( a trente deux ans quoi!)
 
 
 
Me voilà à présent sous le nom de Hailey brinxton, psychiatre à 23 ans dans l'asile arkham à Gotham city.
 
 
 
COMMENTAIRE DE L'AUTEUR : 
 
Voila voila ^^ un bon début qui s'annonce, j'espère que le côté farfelu vous plaira et que je saurais vous faire plaisir et refréner mes pulsions avec cette fiction qui as de l'avenir dans a petite cervelle. 
N'hésitez pas à lâchez un com' pour me dire ce que vous en pensez . 
Ps: ne pas faire attention aux fautes d' orthographes 
 
câlin baveux   
                                                                                                                     - votre servante bourriquet
 
 

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#Posté le mardi 11 mars 2014 18:47

Modifié le lundi 17 mars 2014 07:19

Chapitre 1 : Emma MORALES

Chapitre 1 :
 
La première fois que j'ai aperçus ce panneaux qui m'indiquait dans quelle ville je me trouvais, je me suis évanouis, à mon réveille, je demandais sans cesse où je me retrouvais et l'ont me répondait toujours la même chose.
Je n'y croyait pas c'était ridicule et pourtant je m'efforçais de ma taire, je savais très bien que si je me remettait à parler de ma vie antérieur on m'aurait enfermer et pour de bon cette fois.
Que pouvais je faire, seule, sans personne à qui parlais, à qui faire confiance, ne sachant pas si j'étais lucide ou simplement aussi folle et traumatisée que ce que disaient les médecins.
J'ai longtemps douté de moi même, pensant parfois que je m'étais créer une réalité alternative du à mon choc post traumatique là où j'avais sois disant perdu, ma s½ur jumelle, ma mère et mon père. Et même si une partie de moi n'en croyait pas un mot, je gardait toujours au fond de moi une infime partie de l'esprit de l'enfant de six ans dont j'habitais le corps, et son innocence fit jaillir des doutes affreux.
Tout était trouble dans mon esprit, surtout au niveaux des souvenirs, j'avais affaire à un puzzle incomplet et dans le désordre que je dus reconstituer, étape par étape, jour après jour et ce durant quatorze ans.
Le corps d'enfant dans lequel j'étais réincarner ne pouvait pas supporter le poids de trente deux années de souvenirs d'un seul coup, tout naturellement des passages de ma vie antérieur furent éjecter.
J'avais entre les mains des morceaux de verres brisaient qui n'allaient pas ensemble, et ça me rendait folle.
Heureusement petit à petit je retrouvais partiellement la mémoire, plus mon corps devenait fort et grandissait plus je me rappelait de ce qu'avait été ma vie avant d'atterrir dans ce monde. Ce fut à mes dix neuf ans que tout mes souvenirs revinrent. Certains aurait préféré oubliait, se complaire dans la folie, mais pas elle, Hailey ne voulait pas rester ignorante elle voulait tout savoir de la vie d'Emma. Ce ne fut pas de tout repos, il fallut qu'elle se concentre, restant en éveille pendant des heures, se focalisant que sur une seul chose : sa mémoire. Et à chaque souvenirs qui lui était rendu, de violente migraine la prenait durant parfois des jours, alors qu'elle s'acharner à retranscrit le moindre détail de sa vie antérieur dans un carnet.
Carnet qu'elle gardait scrupuleusement sur sois.
 
Pourquoi ?
N'avez vous jamais entendu la maxime : n'oublie jamais d'où tu viens.
 
Étant enfant, lorsque je n'arrivais pas a dormir, traumatiser par l'hôpital, et les doutes qu'ils avaient fait naître en moi, je prenais ce carnet et à voix basse, je conter chaque souvenirs de Emma Wilson à la petite Hailey qui s'endormait en rêvant à une autre vie.
 
Pour évitait la folie, j'avais appris à créer deux moi différent, Emma et Hailey était toutes les deux des parties de moi, sans pour autant être ce que j'étais, parce que j'étais l'exacte mélange des deux.
 
Voici l'histoire de Emma Morales.
 
Autant que je me souvienne, Emma n'était pas une enfant facile loin de là, avant même de naître tout le monde savait qu'elle aurait un fort caractère et effectivement elle était impétueuse, dynamique et même un peu casse cou sur les bords. Cette enfant était une calamité, elle empilé les bêtises comme de vraies trophée et même si elles n'étaient pas bien méchantes la pire d'entre elles envoya quelqu'un à l'hôpital.
C'était un dimanche comme tout les autres et Emma s'amusait avec ses cousins germains, un petit garçon brun, aux caractère tout à fait angélique, qui ne bougeait pas, mais qui pouvait parfois piquer des colères montreuse, ainsi qu'une jeune fille blonde de deux ans son aînée qu'elle considérée comme sa grande s½ur. Bien que celle ci fut un peu plus calme qu'Emma, leurs parents évitaient de les laisser trop longtemps ensemble sans surveillance car ils savaient très bien que ces deux démones réunit, cela pouvait vite tourner à la catastrophe.
Ce fut donc à un moment où tout les trois purent s'éclipser quelques instants tandis que derrière la maison, le rosé pamplemousse pour les dames et le vin rouge pour les hommes coulés à flots et qu'ont se gavaient de dessert en tout genre. Nika attendait Emma guettant toutes les secondes les alentours du grand jardin, cette dernière lui avait formellement interdit de la rejoindre prétextant qu'elle lui préparer une surprise.
Emma savait très bien que sa cousine était au régimes du à un peu de surpoids que lui avait engendré la gourmandise si fréquente des enfants de son âge. Sa mère en avait fait une maladie, la privant de toutes choses sucrées jusqu'à ce qu'elle tombe au moins dix kilos en dessous de la moyennes, sûrement parce qu'étant plus jeunes on n'avait pas eut la bonté de lui donné des restrictions, c'est comme ça qu'elle s'était retrouver obèse. Tout le monde trouvait ça excessif, même Emma malgré son jeune âge, et pourtant personne ne disait rien, laissant l'adolescente complexée parler à la place de la mère.
Ce fut donc dans la pensée, de rendre service à sa grand s½ur de substitution que la petite fille se dirigea vers les tables où festoyer joyeusement toute la famille, s'empiffrant comme pas permis.
Prenant soin à ne pas être repérer la fillette se glissa entre les jambes des adultes qui ne s'en préoccupèrent pas. Emma se retrouva en face du plateau à dessert, doucement elle se releva pour ne pas attirer l'attention et glissa sa main entre les pâtisseries pour atteindre celle au chocolat qu'elle savait être la préféré de Nika. Alors qu'elle allait atteindre son but, une main féminine encercla son poignée, la petite venait de se faire surprendre par sa mère, qui sans plus de cérémonie lui somma de ne plus venir roder autour des pâtisseries en voleuse qu'elle était.
Déçu la petite acquiesça et repartie, mais n'en démordit pas.
Nika attendait toujours, s'impatientant de plus en plus, lorsqu'elle aperçut la silhouette bien heureuse de sa cousine, le fillette se jeta sur elle, réclamant son cadeau, oubliant tout l'agacement qu'elle avait ressentis quelques secondes auparavant.
Emma sortis de derrière son dos, un gâteau au chocolat rond, les yeux de Nika s'illuminèrent lorsqu'elle vu le dessert, la petite lui arracha presque des mains, tant elle avait peur qu'ont le lui retire et elle s'empressa de mordre dedans.
Et ce qui était au début une expression de pur plaisir se transforma en dégoût le plus total, Nika posa ses yeux sur la pâtisseries et constata avec horreur que cela n'en était pas une.
Le crie strident de sa fille, la fit se lever d'un bond, en un éclair la grosse femme se retrouvait dans le jardin cherchant des yeux son enfant.
 
La tante d'Emma faillit avoir un arrêt cardiaque lorsqu'elle aperçut sa fille vomir violemment tenant dans sa main un gâteaux où l'ont pouvait voir à l'intérieur des feuilles de lauriers, des épluchure de patates, de la boue et des insectes dont certains étaient séparé du reste de leur corps tandis que d'autre remués encore.
La petite fut transporter à l'hôpital, par simple convention, tout le monde savait très bien que ce n'était pas quelques insectes qui allait la tuer, mais sa mère insista tant que ce fut de rigueur. La petite Emma fut tellement grondé que jamais plus elle ne se risqua à faire de gâteau, d'ailleurs elle était nulle en cuisine.
 
Je ris toujours en pensant à ce genre de chose, la petite fille qui faisait mourir de peur tout sa famille au moins cinquante fois par jour à cause ses bêtises.
 
Alala sa famille, la meilleure famille qu'il puisse exister, songeait t – elle souvent.
 
Emma était née à new york mais elle était d'origine européen, ses parents étaient espagnol, son père était un homme grand, svelte, à la chevelure noir de jais et aux yeux de la même couleur charbon. Pedro était architecte, homme plutôt reconnu dans sa branche et aux revenues loin d'être modeste. Je m'en souviens comme d'un père et d'un mari aimant, prêt à tout pour ses enfants, les protégeant sans cesses, leur inculquant des valeurs, une éducation comme on en voit plus. Souvent je ris en pensant à ces conseils, conseils qu'il donnait pour tout et n'importe quoi, que je n'ai pas utiliser avant longtemps, mais au moins il était sur d'avoir accomplie sa mission.
En pensant à lui, Emma se rappelait toujours les mêmes choses.
Étant une enfant très attaché à son confort et à ses habitudes, Emma, lorsque la famille partait en voyage était toujours celle qui avait le plus de mal à s'endormir. Alors pour la bercer son père venait s'asseoir au bord du lit, elle lui demandait donc des étoiles dans les yeux « raconte moi l'histoire du château quand tu était petit. » Pedro la regardait attendrit, elle lui demandait toujours la même histoire, pourtant il lui en avait raconter quantité d'autre, mais à savoir pourquoi celle là était sa préférée.
 
Alors il lui contait ses péripétie de jeune gars de la campagne un éclat dans les yeux si propre à ceux qui raconte un passé lointain et plein de bonheur.
Quand Pedro avait finit, il embrassait sa fille sur le front avant de lui prendre la main attendant qu'elle la lui serre trois fois, une fois fait, il lui rendait la poignée de main en serrant à son tour trois fois celle de sa fille. S'était devenue une traditions, il n'avait pas besoin de communiquer avec des mots, ce simple code suffisait.
 
Quant à Carmen, la mère de famille, s'était plutôt un amour fusionnel qui les unissait quelques chose que même le temps ne peut effacer, malgré les années le cordon n'était toujours pas coupé et il ne risquait pas de l'être.
Carmen était une femme solide et simple qui ne demandait que des choses banales pouvant donner un sens à la vie de n'importe qui. Une femme aux goût ordinaire, qui ne priait que pour la santé de sa famille, l'argent et la paix dans le monde. C'était aussi une femme très classe, personne ne savait comment elle faisait mais lorsqu'elle portait un vêtement elle lui rendait tout son éclat. Carment était couturière, aux moyens convenable, sa propre entreprises qui ne déclinait pas toujours aux goûts du jours et même un peu avant-gardiste. C'était une très bonne mère, un peu trop protectrice, toujours à se faire du mauvais sang, mais elle débordait d'amour pour ses enfants, ses petits soleils, ses perfections rien qu'à elle, son ½uvre.
Elle l'aient aimaient plus que tout, elle aurait donné sa vie pour chacun d'eux. Malgré tout elle était légèrement dépressive. Attention pas à un niveaux inquiétant mais assez pour que son mari remarque ses soudaine saute d'humeur, heureusement cela ne durait qu'un temps, ensuite elle redevenait la maman rigolote et le bon vivant qu'elle avait toujours était.
Emma avait systématiquement ce flash qui lui revenait en tête quand elle pensait à sa mère.
La petite fille de dix ans à cette époque, était très préoccupée par quelques chose dont tout le monde ignorait la cause, après les cours elle s'enfermaient dans sa chambre ne communiquant avec personne tandis qu'ont entendait les son du crayon frottant rageusement contre la feuille.
Comme toute mère normal, Carmen s'inquiéta du comportement de sa fille qui, selon les symptômes, devait sûrement avoir trouver une autre lubies.
 
La jeune espagnole priait juste pour cette dernière ne sois pas plus folle que la précédente.
Un jour où il n'y avait pas école et où Carmen était occupée à brosser sa longue chevelure châtain foncés et bouclés dans la salle de bain, Emma entra sans même frapper faisant claquer la porte contre le mur et faisant sursauter sa mère. La petite s'assit par terre en tailleur étalant devant elle sur le carrelage blanc une quantité impressionnant de fiches où était inscrit des chiffres et des lettres gribouiller à la va vite. Voyant que sa mère ne comprenait pas sa démarche, la fillette soupira et commença son explication. Carmen du faire un gros effort pour ne pas éclater de rire, sa fille était si ridicule et si émouvante à la fois. Emma avait passé des jours et des jours enfermé dans a chambre dans l'idée de retrouver tout l'argent que ses parents avaient du dépenser depuis sa naissance, des couche culotte au tricycle en passant pas les biberon et les tétines.
La mère frotta la tête de son enfant avant de se pencher et de commencer à décrypter les fiches de sa fille, puis elle lui dit :
« tu es encore loin du compte. »
A cette phrase la petite crut tomber à la renverse, combien d'année devra t – elle travailler pour rembourser ses parents ?
« Zéro ! » lui répondit sa mère.
« Et tu sais pourquoi ?...Parce qu'un jour, ce sera à ton tour d'avoir des enfants et de leur donner tout ce que tu as, de te priver rien que pour leur bien être, c'est à ce moment la que ta dette sera effacé. »
Emma n'avait pas tout compris, mais elle savait qu'elle n'avait plus à donner de l'argent à ses parents et juste cette nouvelle la fit sourire une semaine entière.
 
Quelle bon souvenir parmi tant d'autre.
 
Malgrè tout ce qu'elle à put vivre, Hailey pense encore très souvent au frère d'Emma : Victor de trois ans son aîné, un garçon qui avait le c½ur sur la main, un peu capricieux, le germent bagarreur et avec qui elle adorait se disputer. Ce garçon était sa joie de vivre la petite étincelle qui illuminait sa vie. Il était beaucoup mois typé qu'elle, s'était un grand costaud qui avait pour passion le rugby, châtain au yeux bleu dont personne ne connaissait la provenance, un côté suédois de la famille si je me souviens bien.
Tout deux était insérable, leur différence d'âge n'était vraiment pas un problème, du moins jusqu'à ce que Victor rentre au collège, il changea radicalement, il passait son temps à évincer sa petite s½ur, qui ne demander qu'à passer du temps avec lui, en vu de virer avec des amies. Il était devenu colérique et bien plus bagarreur, il n'était plus aussi présent dans la vie de sa s½ur et il était même un peu tyrannique avec elle.
Fort heureusement cette période ne dura qu'un temps, même si pour la jeune fille ce fut une éternité, lorsqu'à son tour elle entra dans l'adolescence ils retrouvèrent leur précieuse complicité. Emma lorsqu'elle repense à ses souvenirs d'enfance en rapport avec son frère ne peu s'empêcher de penser à celui ci.
C'était un jour d'été comme il y en a par dizaine, un jour de forte chaleur où les enfants sortait sous les recommandations de leur parents, Victor ne dérogea pas à la règle. Ses amies passèrent l'après midi agglutiner devant le portail de leur maison, exhibant leur muscles et leur scooter, alors que lui, il faisait le fier devant une fille qui lui plaisait un peu trop au yeux de sa s½ur. Pensant qu'il avait les clés dans sa poche, le jeune garçon ne prêta aucune sorte d'attention au portail qui se fermait automatique, seulement il n'avait pas prévu qu'une petite fille de trois ans de moins que lui viendrait coller sa tête contre les barreaux du portail faisant retentir le tintement des clés.
Le jeune homme tenta de rester calme mais ne put s'empêcher de bouillir de rage.
La petite maligne lui proposa un marcher, Emma lui rendait ses clés à la conditions qu'il emmène avec lui et ses amies, ce qui était évidemment hors de question pour Victor, seulement il ne pouvait pas partir sans ses clés, dieu seul savait ce qu'en ferait cette démone. Heureusement pour lui la fillette ignorait où il fallait appuyer pour ouvrir le portail et non le garage, le jeune homme en profita pour lui proposer un autre marcher. Si elle lui rendait les clés sans faire d'histoire, il lui promettait de l'emmener avec lui, dans le cas contraire si elle appuyer sur le mauvais bouton leur parents la gronderait. La petite totalement en confiance les lui donna. Grave erreur, car sous les rires de ses amis, Victor s'en alla sur son nouveau scooter, sans tenir sa promesse.
Ce souvenirs lui provoquait toujours le même pincement au c½ur.
 
 
Malheureusement ce n'était pas le seul souvenirs concernant son frère qu'elle gardait enfouis en elle, non, il y avait bien pire.
Elle se demandait souvent pourquoi il fallait qu'elle force sur sa mémoire pour se rappeler des bons moment qu'elle avait vécus alors que les mauvais souvenirs ne se faisait pas prier pour apparaître sans cesse, tournant en rond dans son cerveaux.
Peut être était une condamnation de la nature humain : vouer à ne se rappeler que le mauvais.
 
Une nuit, alors que Emma avait vingt cinq ans passé, elle fut réveiller pas le bip infernal de son téléphone portable.
Cette nuit où elle n'avait fait que des cauchemars pendant son sommeil, elle ne savait pas que le vrai cauchemars commencerait à partir du moment où elle ouvrirait les yeux.
Alors qu'à moitié endormis, elle décrochais du mieux qu'elle pouvait essayant de ne pas avoir une voix trop rauque, une seule chose parvint à mettre tout ces sens en éveille : les sanglot dans la voix de sa mère.
Emma ne put empêcher les larmes de lui monter aux yeux et le téléphone de glissait lentement de sa main pour tomber sur le sol, le bruit que causa le choc la fit sortir de sa torpeur, à la va vite elle attrapa un manteaux qu'elle enfila tant bien que mal par dessus son pyjama et mit des chaussons. Elle se précipita au dehors afin de gagner sa voiture, sans même prendre le temps de fermer son petit appartement.
Après avoir faillit se planter six fois sur la route, Emma arriva à l'hopital où sa mère l'accueillit en pleurs tentant que lui expliquer clairement la situation.
Victor venait d'être admis en urgence pour blessure mortel.
Pourquoi ? Personne n'en à jamais rien su, mais ont l'avait battu à mort causant des hémorragie cérébrale.
Un homme l'avait retrouvé par terre baignant dans son propre sang à demi vivant, le crâne éclate. Victor avait été admis en urgence au bloc opératoire, il y passa deux heure avant que l'ont puisse déterminer son identité et contacter sa famille. Après l'arrivais d'Emma, il y passa encore deux heures, jusqu'à ce qu'une infirmière viennent les prévenir qu'il était en salle de réveil. Les médecins essayèrent de rester le plus neutre possible, mais ne purent cacher un certaisn enthousiasme, d'après eux, s'il passait la nuit, il était tiré d'affaire.
Emma passa le reste de la nuit au chevet de son frère, elle le berça, lui conta des histoire, lui caressa les cheveux et l'encouragea à se battre.
La jeune femme lui tenait la main en versant des larmes silencieuse qui retombait tout aussi silencieuse dans les draps du blessé qui s'obstiner à garder les yeux fermé.
Qu'est ce qu'elle aurait donner pour entrevoir une dernière fois ses pupilles bleu étincelante de vie et de malice.
Seulement elle ne l'ai revit plus jamais.
Au petit matin, Victor était sans vie, il avait arrêter de lutter et le bip de son assistance respiratoire se prolongeant à l'infini dans un son strident et infernal.
Un partie d'Emma partie avec son frère, ce jour là elle y laissa quelque chose.
Son frère laissa un grand vide derrière lui, quelques chose d'inexplicable dont on ne remarque pas la présence et qui n'a pas de nom, mais qui fait ressentir son absence comme la chose la plus horrible qu'il puisse être. Elle refusa d'assister à l'enterrement, cette comédie insultante de discours réciter à la va vite par un prêtre qui ne fait que répéter les même sottise à longueur de journée sur les défunt qu'il ne connaît même pas. Cela aurait été une perte de temps, elle aurait juste eu envie de fracasser le crane de ce religieux de pacotille sur l'autel.
 
Hailey essayait d'y penser le moins souvent possible et pourtant étant enfant elle ne cessait de repenser à ce grand frère protecteur qu'ont lui avait prit. Elle avait souvent était surprise en train de pleurer, recroquevillée dans son lit.
 
 
Néanmoins le souvenirs le plus frappant et le plus présent dans l'esprit de Hailey concernant Emma, était bien celui de la petite Edée.
 
La jeune femme de tout juste trente deux ans était, comme à son habitude, en train de prendre un café, accouder sur le comptoir en train de papoter avec la réceptionniste. Alors qu'elle se plaignait encore une fois de ne pas voir de vie sociale, un grand fracas se fit entendre depuis l'entrée, Emma se retourna pour voir un de ses amis brancardier transporter une enfant qui se débattait, pleurant, les mains sur les oreilles.
La jeune femme apercevant la petite mal en point fit un signe au brancardier les incitant à la suivre jusque dans une chambre afin qu'elle administre un calmant à la fillette, attrapant au passage son confrère et meilleur ami qui se dirigeait vers la buvette en lui soufflant un « c'est pas le moment. »
Emma guida les pompiers jusque dans une salle semblable à tant d'autre où était disposé deux lits, une table, deux fauteuils, une télé et des magazines qui ne devaient pas être renouvelés depuis très longtemps vu leur dates de sortis. Un homme roux en uniforme s'occupa de prendre la petite dans ses bras et de la coucher sur un des lits présent, tandis que Emma commençait déjà à préparer une seringue d'analgésique et que Jeremy s'occupait d'examiner l'enfant.
 
« Elle à une forte fièvre, probablement mal à la tête, la petite lui donna un coup sur le visage en mettant ses mains sur ses oreille, elle à aussi une intolérance aux sons. »
 
Il sortit une petite lampe de poche de sa blouse blanche et se mit à examiner les pupilles de l'enfant.
 
« Ses pupilles sont dilatés et il y a une présence de vaisseaux sanguin à l'intérieur. »
 
Quelques secondes à peine suffire à la jeune femme pour comprendre de quelle maux souffrait sa jeune patience, avec sa seringue à la main elle s'approcha de son confrère en lui soumettant son diagnostic.
 
« Elle fait une hémorragie méningée
Tu en es sur ? Lui demanda Jeremy peu convaincu qu'une enfant de cet âge est ce genre de maladie.
Le dernier symptôme sont les...»
 
Sans crier gare la petite fille se pencha au dessus du sol accroché au barreaux de son lit et vomit sur les chaussure du bon docteur qui recula vivement.
« laisse moi deviner : vomissement c'est ça. »
La jeune femme acquiesça et regarda l'enfant qui gesticuler dans tout les sens en se tenant la tête, le temps n'était plus à la discussion, il fallait agir et vite, autrement cette enfant risquer gros.
Emma jeta sa seringue à la poubelle et pris son biper, elle bipa tout ses collaborateurs, il fallait qu'ils sois prêt pour une opération dans dix minutes tout au plus.
 
« Aide moi à la transporter en salle d'opération 4.
tu es certaine de ne pas te tromper ?
Le pronostic vitale de cette gamine est engagée alors aide moi. »
 
Sans rechigner le grand blond transporta la malade jusqu'en salle d'opération à l'aide de sa cons½ur tandis qu'au fur et à mesure d'autre médecins venaient les rejoindre. Au début tous perplexe face à cette enfant et puis tour à tour confirmèrent les dires de la neurochirurgienne.
Il fallait stopper l'hémorragie au plus vite, sinon il risquerait d'y avoir trop de sang dans les méninges de cette enfant.
Tous passèrent plus de trois heures à essayé de retirer le sur plus de sang dans le crane de l'enfant dont il ne connaissait même pas l'identité.
La petite une fois opéré se vit attribuer une chambre, tandis que les membres de sa famille venait la rejoindre.
Par la suite Emma appris que cette enfant était une rescapé de la guerre et qu'elle n'avait pas de famille, sa maison avait explosé alors que tous se trouvaient à l'intérieur, personne n'en avait rechapé sauf elle, qui était sortis indemne. Enfin c'est ce qu'ont croyait jusqu'à ce qu'elle soit interner à l'hôpital et que Emma confirme à la famille d'accueil que c'était bien l'explosion qui avait engendrer des dégâts.
La petite était du Zimbabwe, une région d'Afrique où la guerre civile avait éclatée et comme beaucoup de civile Edée avait été prit dans cet enfer, où elle avait du mendier et voler pour survivre tandis que sa mère et son père faisait tout pour les protéger et leur construire un abris de fortune à elle et ses cinq frères et s½urs. Tout les jours, des bombes explosé et ils devaient se réfugier sous les décombres pour ne pas se faire repérer et exécuter à cause de leur parties politique, respirant des fumés toxiques comme de l'air pur.
Il fallut une journée entière à Edée pour se remettre de son opération. Dés son réveil Emma fut à son chevet, elle l'examina .
Comme prévu l'enfant comporter des troubles de la personnalité, elle ne savait plus où elle était et qui elle était, cela arracha le c½ur de la jeune femme de voir cette fillette sans famille réclamait ses parents qui elle savait, dans un coin de sa mémoire, mort.
Une nuit alors que Emma finissait particulièrement tard, elle entendit des petits cris plaintif venant de la chambre de sa patiente dont la salle était juste en face de son bureau. La jeune femme prenant peur se précipita en direction de la chambre d'Edée, qu'elle retrouva recroquevillé dans un coin de la pièce, pleurant de tout son soul.
La médecin s'agenouilla en face d'elle et lui caressa les cheveux en lui demandant ce qui n'allait pas.
« C'est vrai...C'est vrai...Ils sont mort et il ne reviendront plus...Ils m'ont laisser et ils sont mort....Sanglotait elle. »
 
Cette nuit fut atroce pour Emma qui la passa à bercer la fillette et à la réconforté, bien qu'elle sois inconsolable.
Au petit matin, une infirmière se précipita dans la chambre de Edée, l'assistance respiratoire avait cessé de fonctionné et pour la simple et bonne raison que Edée ne respirait plus.
La petite fut emmener d'urgence en réanimation.
Emma n'en croyait pas ses yeux, l'enfant refaisait une hémorragie méningé, encore pire que la précédente.
La neurochirurgienne passa encore une demi journée à opéré sa jeune patiente qui était dans un état pitoyable. Comment cela avait pu revenir c'était quasiment impossible.
On eut dit que ses souvenirs de l'explosion avait fait renaître la maladie.
Emma put la soigner et lui sauvait la vie pour la seconde fois avec l'aide de l'équipe médicale et Jeremy qui faisait un travail formidable.
 
Seulement Emma n'était pas au bout de ses peines.
Pour la médecin s'était devenue une habitude que de faire des sauts à l'improviste pour aller voir sa plus jeunes patiente, souvent elle lui contait des histoire la nuit pour l'éviter de pensée à des choses désagréable.
Malheureusement périodiquement les hémorragie méningées de la petite Edée revenait, comme si le souvenirs faisait renaître la maladie à chaque stimulation de la mémoire.
Et à chaque fois la jeune femme était la pour lui insufflait la vie.
Emma s'était attaché à cette enfant à qui elle avait donné la vie plus de dix fois.
Plus de six mois passèrent dans ce rythme infernale entre la vie et la mort, lorsqu'un soir où elle s'en allait, la petite l'intercepta et lui dit
« j'aurais tant aimé naître comme ta fille. »
 
Le lendemain, l'infirmière de garde retrouva l'enfant étendue dans son lit, les bras le long du corps, les eux clos, l'air paisible, un éclat venant d'elle la rendant magnifique dans sa mort. L'infirmière hoqueta de douleur et eut du mal à retenir ses pleurs lorsqu'elle constata que l'assistance respiratoire de la petite Edée n'était plus relié à elle mais à un patient comateux dans l'autre lit.
L'enfant ne supportait plus de vivre entre deux monde, l'un avec son passé qui lui tendait les bras pour retrouver tout ceux qu'elle aimait, l'autre avec un bonheur qu'elle ne pouvait même pas effleurer, un idéal qu'elle ne pouvait atteindre enfermer entre se murs et ses souvenirs. Edée savait qu'elle allait à nouveau faire pencher la balance du côté noir, alors elle avait enlevé ses électrodes et les avaient collé sur la poitrine d'une jeune femme. Tout la nuit elle avait attendu de rejoindre le monde du passé et le matin comme une fleur qui se fane à la nuit tombé elle s'était envolé, décidant d'arrêter de duper la mort.
Emma ne s'en releva pas.
 
La suite vous la connaissez....






Commentaire de l'auteur :


Voila voila beaucoup de blabla mais je voulais vraiment que cette parie de sa vie sois claire et bien présente dans votre esprit. Ne vous inquiétez pas notre joker chérie va bientôt rentrer en scène.  


                                                                                                                              Bouriquet ^^
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#Posté le samedi 15 mars 2014 20:33

Modifié le lundi 17 mars 2014 07:20

Chapitre 2 : Joker !

 
 
Je croyais déjà que ma vie avait irrévocablement changer, mais je me trompais, j'étais loin d'être au bout de mes peines...Non vraiment, ma vie à changé le jour où je l'ai rencontré.
 
J'avais vingt trois ans passé et je venais de décrocher mon diplôme de psychiatre avec brio trois ans avant l'âge moyen, j'étais la plus jeune et la meilleur de ma promotion. Je vivais ma nouvelle vie normalement m'habituant petit à petit à ce monde totalement absurde, voyant cela comme une deuxième chance, celle de sauver des vies. Je ne vivais plus avec ma tante bien qu'il me fut difficile de la quitter, elle et ses bon petits plat, mon oncle Jamie et ses blagues idiotes ainsi que ses deux jumelles Rose et Mary qui étaient, il fallait l'avouer, de vraies peste et en même temps deux jeunes filles aux grands c½urs, sans oublier mon cousin qui ne vivait pas avec nous, un homme un peu plus vieux que moi que j'affectionnais tout particulièrement .
J'habitais à l'autre bout de la ville, côté campagne, un endroit charmant et ressourçant en comparaison de Gotham et son brouhaha continuel.
Ce jour là je devait justement recevoir la visite de mon oncle qui était serrurier, il est vrai que de loger en face d'un détraqué sexuel peut être excitant pour certaines personne dont je ne veux pas connaître l'identité, mais pour moi cela s'avérait être un réel problème. Moi il me faut mes 8 h de sommeil et avec la peur que quelqu'un entre chez vous par effraction pour vous violer n'est pas un moyen très efficace pour les obtenir.
Jamie était donc occupé à changer ma serrure, qui d'après moi même si je ne m'y connaissait pas trop devait au moins daté de l'age de glace, tandis que moi en retard comme à mon habitude je tentais vainement de démêlais ma longue chevelure bouclés en me douchant. Chose bien sur que je ne réussis qu'en partie, fatigué, je sortis de la baignoire pour commencer à me maquiller, et ce fut lorsque je commença à mettre mon rouge à lèvre que j'entendis un bruit sourd provenant de l'entrée. Surprise je tournais automatiquement la tête ce qui me valut un trait rouge le long de la joue.
 
« Jamie ? Jamie ça va ? Criais je .»
N'entendant aucune réponse et un peu angoissée, je m'entourais la taille d'une serviette me maudissant de ne pas avoir pris mes habits avec moi, je sortis ma tête dans l'entrebâillement de la porte dans l'espoir d'entendre un quelconque signe de vie.
Je distinguait un bruit de pas lointain, intriguait et ne reconnaissant pas celui lent et lourd de mon oncle je décidais d'aller voir de plus prés, je m'engageai alors dans le couloir précédent le hall et la porte d'entrée.
C'est alors que je vis mon oncle, à genoux un air désespéré sur le visage, les mains sur la nuque entouré de trois hommes dont un qui tenait un canon sur la temps de de Jamie.
Animé par un soudain courage , mon oncle hurla :
 
« Dégage ! Va prévenir la police ! »
 
Je ne réagis pas, trop choquée pour faire le moindre mouvement et ce fut lorsque le canon heurta violemment la nuque de mon oncle qui tomba au sol évanouit que je retrouver mes sens, habitée par la colère je me précipitait dans ma chambre tandis qu'ont se lançais déjà à ma poursuite.
 
« C'est elle que le patron veut ! »
 
Arriver dans ma chambre que j'avais fermer à clé au préalable, j'ouvris le troisième tiroir de ma commode, je soulevé ensuite la planche du fond pour y retrouver me jouet préféré.
Je pris la petite boite à côté, je m'assis sur mon lit mon fusil à pompe entre les mains le chargeant afin de faire leur fête à ces rigolos.
Les jambes croisées, le fusil à l'épaule, un ½il ouvert dans le viseur et le canon planté pile poil sur une croix qui était faite sur ma porte à hauteur de la tête d'un homme moyen.
Les agresseurs ne tardèrent pas à défoncer la porte dont plusieurs morceaux volèrent en éclat un peu partout dans la pièce, lorsque j'aperçus la première ombre se faufilait dans ma chambre, l'homme n'eut pas le temps de franchir le seuil qu'une de mes balles se colla entre ses deux yeux.
J'avais appris à tirer dans une autre vie.
 
 
L'impulsion me fit bouger, je rechargeait une fois encore alors que d'autre hommes commencèrent à arriver, je tirait une nouvelle fois, sans prendre la peine de visé, la balle toucha néanmoins la jambe d'un des agresseurs qui tomba à terre hurlant de douleur.
N'ayant plus le temps de recharger mon arme je pris un couteau sous mon oreiller et me précipitait dans la pièce d'à côté qui se trouvait être mon bureau tandis que d'autre complices arrivaient, avec les deux que j'avais mit hors circuit ils devaient être six.
Sachant très bien que même avec toutes mes années de combat et de tire, je ne pourrais pas m'en sortir avec un couteau face à plusieurs hommes dangereux et armés je me mis en tête de m'en sortir par la ruse.
J'ouvrais les fenêtre à guillotine de la pièce et mit une longue suite de draps relié les uns aux autres dans le vide pour faire croire à mon évasion.
De l'autre côté de la porte, j'entendais les cris de douleur de l'homme que j'avais touché et ceux des hommes qui voulait me capturer pour une raison que j'ignorais.
Soudain une détonation se fit entendre puis plus aucun bruit, plus d'exclamation ni de gémissement de la part de la victime, Pourquoi ?
Je le savais très bien mais je refusait de croire qu'il ai put abattre de sang froid leur collègue.
Alors que seul un bruit de pas lent et léger se faisait entendre, une autre détonation retentit me faisant sursauter et lâcher un petit gémissement, quelqu'un venait de faire exploser la serrure de la porte de mon bureau tandis que j'étais caché dans l'armoire.
J'espérais seulement que ma ruse marcherait.
Une légère interstice demeurait entre les deux portes de l'armoire dans laquelle je me terrais me permettant de voir des brides de ce qui se passait dans la pièce.
J'observais avec anxiété mon bureau, il était dans un état lamentable, et la pensée que l'ont me prenne encore pour une folle germa dans mon esprit.
C'est que quinconce verrait mon bureau me prendrait pour une folle, adoratrice du crime et la justice.
Il est vrai que même si je m'était habitué à tout cet univers à ce quotidien et à cette routine qui n'en était pas une, j'avais tout de même des séquelle de ma vie antérieur et de ce dont je connaissait de ce monde à l'époque.
Depuis toujours, enfant et adolescent, nous avons tous regarder des dessins animé, comme la ligue des justicier ou batman ainsi que les comics qui avait créer ce monde remplis de super héros revêtu de cape sauvant la veuve et l'orphelin, toujours prêt à briser les mâchoires des super vilain voulant faire régner le chaos.
Depuis que j'étais arriver dans ce monde j'en faisait une réel obsession, marquant dans mon carnet non seulement les souvenirs de ma vie passé mais aussi ceux relié à ce monde dont je ne connaissait que les axes principaux. Ma culture de cet univers ne se résumait pas à grand chose Batman, catwoman, Joker, Harley quiin et poison ivy, je ne me rappeler de rien d'autre et encore que ceux là était flous.
Mais je pense que c'est le jour où j'ai eu mon propre appartement, peu après mes dix huit ans et que j'ai vu cette pièce vide que j'ai littéralement pété les plomb, ma soif de compréhension et mon obsession s'était accrut à un tel point que je passais des nuits entière dans mon bureau à dessiner chaque visage chaque personnage, souvenirs lié à cet univers.
C'était ma pièce secrète mon enquête exclusive à moi toute seul, mon évasion, ma petite manie, mon sanctuaire de désespoir, dont les murs en étaient venue à être recouvert de dessins et de photos de criminels ainsi que de notes.
Je n'avais jamais montré cette pièce à personne, elle était verrouillé en permanence, j'avais bien trop peur que quelqu'un tombe dessus et que l'ont préviennent la police pour me renfermer dans cet affreux asile où je travailler à présent.
Malheureusement aujourd'hui cette pièce allait être découverte et je savais pertinemment même si je me refusait à le voir que cela aller me retomber dessus.
Mais à ce moment la je n'avais pas encore la certitude que mon destin en était une fois de plus compromis.
 
Je me retrouvais donc dans ce placard exiguë, me retenant de jurer à haute voix, la peur au ventre, angoissé par ce qui aller suivre, le c½ur battant contre ma poitrine tandis que je tentais de contrôler ma respiration qui s'acharner à s'accelèrèe. J'avais des questions pleins la tête, je me demandais sans cesse pourquoi moi, pourquoi encore quelques chose d'aussi fou devait m'arriver, une petite psychiatre sans importance, effacé et docile. Pourquoi voulait on me faire du mal.
Je me refusait à croire que cela été à cause de mon cousin que j'aimais tant.
Je fermais les yeux et me concentrais uniquement sur les sons que produisait les criminels qui envahissaient à présent mon appartement.
Je n'entendait aucune voix, seulement le même pas lent et léger de tout à l'heure, une respiration calme et un petit bruissement de vêtement qui allait aux grès des pas.
Je les entendaient se diriger calmement à l'autre bout de la pièce, là où était supposé être mon bureau, la je parvint à distinguer le fortement de la peau contre le papier.
Quelques chose l'avait intriguer et vu ce qu'il y avait sur ce secrétaire cela ne devait être rien de bien positif. Soudain alors que je fermais toujours les yeux en croisant inconsciemment les doigts j'entendis une voix grave :
 
« Tiens une fan. »
 
Je ne pouvais savoir s'il s'adressait à moi ou à ses complices mais aucune réplique ne suivit la sienne.
Alors que je l'entendait tourner dans la pièce je le vis s'arrêter juste devant la fenêtre pour faire ensuite quelques pas vers la sortie. Je me réjouis, il avait complément marché, il était tombé dans le panneaux et je m'en félicita, un peu trop vite.
Puisqu'il fit marche arrière pour s'arrêter juste devant l'armoire où je me terrais, il boucha ma seul source de lumière et alors que je ne voyais pas son visage la seul chose que je pouvais apercevoir dans cette position c'était son n½ud pape et son costume violet sentant le renfermé.
 
« Je sais que tu es là, petite. »
 
Toujours aucun son, et alors que je tremblais de peur, n'ayant que mon couteau sur moi face à je ne sais combien d'homme, celui qui avait parler et qui semblait tous les dominer ouvrit brusquement les battant de l'armoire. Je mettais mise dans l'idée que à peine ouverte je lui foncerais dessus pour le poignarder et sauter par la fenêtre, mais lorsque je vis son visage je ne pus esquisser le moindre mouvement et ma seule arme tomba au sol dans un bruit métallique.
J'avais sous les yeux, un visage de couleur craie, des yeux entouré de noir et un sourire rouge sang.
Je venais officiellement de rencontrer le joker.
Celui ci arqua un sourcil en me découvrant, puis voyant que je ne faisait aucun geste m'attrapa violemment par le bras pour me sortir de ma cachette.
Me sortant de ma torpeur, je repris à mon tour mon bras aussi sèchement que possible sans prononcer un mot, trop intimidé pour retrouver mes phrase sarcastique.
J'avais en face moi une dizaine d'homme qui me regardait de haut en bas, un sourire bien trop malsain pour n'être que envieux, tandis que le Joker me tournait autour comme s'il cherchait à m'analyser.
 
« Alors c'est cette petite chose qui à tuer deux de mes meilleurs hommes, dit il après m'avoir longuement observer.
Un seul, murmurais je sans m'en rendre compte.
Quoi ? Je n'ai pas entendu, répète, dit il en s'approchant plus de moi, l'air intrigué. »
 
Ayant peur d'en avoir trop dit, une boule se forma dans ma gorge et je me retrouvais dans l'incapacité de former une phrase cohérente. Voyant que je ne comptait pas lui répondre me contentant de le fixer avec un regard d'animal pris au piège, il m'attrapa le menton et me colla un couteau sur la joue.
 
« Répète ! Ordonna t il, ou je ne répond plus de rien. »
 
Toujours apeuré je serais les dents, les larmes commençant à couler le long de ma joue, et c'est lorsque je sentis la lame s'enfoncer dans ma chair et son regard s'assombrir que je criais.
 
« Un seul ! Je n'en ai tué qu'un seul. »
 
Satisfait il me lâcha brutalement, recommençant à me tourner autour comme un prédateur se délecte du désespoir de sa proie, tandis que mes jambes ne me tenait plus et que je m'effondrais en pleurs.
Le Joker fit un signe à un de ses homme que je ne vis pas arriver, celui ci m'attrapa par le bras pour me forcer à me mettre debout, mais je m'obstiner à rester au sol, ma serviette de bain légèrement descendu, dévoiler légèrement ma poitrine. L'homme, sans gênes et au milieux de ses camarades ne put se retenir et commença à m'agrippait un seins, éc½uré je me jetais contre le sol dans un objectif bien précis. Et alors que les rires gras de mes agresseurs retentissait dans la pièces, j'atteignis l'armoire. Sans qu'il ne s'en rende compte, l'homme qui s'acharnait à essayer de me violer, se retrouva, au sol baignant dans son propre sang, la gorge tranchée.
Ma respiration se fit rapide tandis que j'avais de plus en plus de mal à bouger et que je suffoquait regardant avec inquiétude le sang sur mes mains.
Je ne vis même pas le Joker s'approchait de moi pour me donne un violent coup dans les côtes, me forçant à m'allonger.
 
« Maintenant tu peux dire que tu en a tuer deux catin ! Hurla t-il. »
 
D'une main je me tenait le ventre, rampant au sol, des larmes coulant sur mes joues, là il m'attrapa par les cheveux et me força à me relever, je criais que de douleur et le regarda comme n'ont pas avec le regard de Hailey mais avec celui de Emma : méchant et rebel.
 
« J'aime ce regard, dit il jovialement en m'attrapant par la taille. Au faite jolie imitation. Dit il en me caressant la joue, là où du rouge à lèvres demeurait encore. »
 
Dans un dernier élan de courage je tentais de me sauver, me défaisant de sa prise, je ne pus faire qu'un pas avant m'écrouler au sol évanouit après avoir reçut un coup à la nuque.
 
Ma dernière pensée fut pour Jamie.
Et tout en fermant les yeux je priais pour le salut de mon âme.
Mais le mal était fait je venais de rencontrer le Joker. 




commentaire de l'auteur :


YOUPI IL EST ENTRE EN SCENE NOTRE CHOUCHOU !!!
Bon voila je suis pas mécontente de ce que j'en ai fait, quelqu'un de fou et d'agressif j'aime sa bestialité, la voila entre les griffes du mal. 
Lâchez un com' kiffez et donnez moi des conseils sauf pour les fautes d'orthographes y'en aura toujours XD!!
 
                                                                                                                                                Bourriquet^^
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#Posté le jeudi 20 mars 2014 20:30

Chapitre 3 : Le repère !


 
J'ai toujours pensé que face à se genre de situation je saurais quoi faire.
Tout le monde pense pouvoir prendre la bonne décision lorsqu'il se trouve dans tel ou tel cas. Mais la vérité, c'est que c'est trop facile de parler, la vérité c'est que lorsque l'ont y est, on agis pour sois, on agis de manière à ne pas être mis en danger. Il n'y a plus que nous qui comptons.
 
En allant chercher cette arme je n'ai pas pensé une seule fois à mon oncle qui sans moi ne se serait jamais retrouvé à genoux, l'arme sur la tempe, j'ai pris cette arme pour me défendre. Parce que j'avais peur de ce qu'ils pourraient me faire, à moi et non à Jamie.
Hailey n'a jamais été très courageuse, c'était une petite fille, tranquille, intelligente, un peu tête en l'air sur les bords avec des copines à ne plus savoir quoi en faire. Et je pense que sa personnalité à beaucoup affectée celle d'Emma, qui était une jeune fille solitaire, bornée, brute et courageuse sans parler de son tempérament de cascadeuse.
Ce caractère n'est jamais parti, il s'est endormis lentement comme un volcan, dans le corps fragile de cette poupée d'argile aux boucles dorées enivrantes et au deux perles bleus envoûtantes.
 
Je ne sais pas combien d'heures après mon enlèvement j'ai repris connaissance. Je me souviens seulement d'un bourdonnement constant dans mes oreilles, sûrement dû aux nombreux coups de feu, et de grosses courbatures dans les bras ainsi qu'une douleur à la nuque.
Mes souvenirs entachés, je me levais comme si je venais de me réveiller pour aller au travail, c'est à ce moment là que je sentis mes membres lourds et statiques, je ne pouvais pas bougeais. Pieds et poings liés, je commençais à paniquer, puis mes souvenirs de la veille revinrent.
Je me calmais alors, évitant de faire trop de bruit, espérant qu'ont ne vienne pas me voir avant que j'ai pu trouver une solution pour m'échapper.
Je regardais alors tout autour de moi, j'étais dans une pièce sombre, sans fenêtre, juste éclairée, par l'interstice de la porte qui me retenais prisonnière. Néanmoins je pouvais apercevoir clairement que la salle était grande, avec une table et un lit, il demeurait ici une continuelle odeur de moisi, de saleté incruster dans les murs.
Des mouches volées dans la pièces tandis que je pensais apercevoir une fil de fourmis, mangeant un trognon de pomme.
Ma conscience totalement retrouvée j'étais obsédée par l'idée de m'enfuir, qu'allait il advenir de moi si je restais ici trop longtemps, que me voulaient ils ? Je regardais furieusement autour de moi, en m'affairant à défaire mes liens seulement ils étaient bien plus solide que ce que je pensais.
Je cherchais donc quelques chose de coupant à ma portée, mais ils n'étaient pas stupide, ils n'auraient jamais laissés un objet me permettant de me libérée à porté d'homme.
Je me mis à respirais fortement en essayant de réfléchir à un autre moyen, mais s'enfuir sans bras ni jambes aller devenir compliqué.
Me redressant comme je pus, j'observais chaque recoins de ma prison, c'est la que je vis distinctement que la table était en métal fin.
 
« Pas si intelligent que ça, pensais je. »
 
J'entrepris donc de ramper jusqu'à la dite table, où une odeur de sucré et d'alcool résidait, me mettant mal à l'aise.
Les yeux plissés, j'inspectais, un des pieds de la table et je me retins de sautais de joie lorsque j'aperçus un morceau du barreau fendu, le laissant aiguisé. Je me collais donc de dos au pied et commençais à frotter mes liens contre la partie de métal aiguisée, quelques minutes d'acharnement plus tard suffirent à faire céder la corde.
Sentant la vie revenir en moi je jetais violemment les restes de mes liens à travers la pièce et j'entrepris de dénouer ceux de mes pieds que je gardais dans l'arrière de mon jean fétiche....
 
« Wait, je n'étais pas censé être à poil !? Pensais je en m'arrêtant net. »
 
Je serais les poings en pensant à leur mains crasseuses sur mon corps, profitant de mon inconscience et de ma nudité.
Mais dans un sens ils venaient de me faciliter la tache, se battre en jean est bien plus facile que de se battre en serviette de bain.
Un frisson me parcouru l'échine lorsque l'idée qu'ils aient pu me faire subir des sévices germa dans mon esprit.
« Allez c'est pas le moment de te laisser aller. Tu verra ça plus tard, pensais je . »
Je m'avancer jusqu'à la porte et regarder par l'interstice, j'aperçus alors un long corridor au sol rouge où demeuraient des taches sombres sur certains endroits et des murs aux couleurs brunes sales détériorés par le temps. Voyant qu'il n'y avait personne j'entrepris de l'ouvrir, seulement comme je m'y attendais elle était verrouillée, mais je ne m'arrêtais pas là. J'avais pris soin de ne faire aucun bruit suspect pour n'alerter personne, mais ils était temps de faire un peu de tapage, je donnais alors un violent coup d'épaule dans la porte, suivis par des coups de pieds dans l'espoir de la faire céder.
Malheureusement je n'y parvint pas, bien entendu équiper d'un plan B, quelqu'un rappliqua, le peu de lumière qui m'étais accordée ne me permit d'apercevoir qu'un jogging taché et troué ainsi qu'une batte de base-ball, sûrement pour me maîtriser.
Les sourcils fronçaient je me décalais, ne voulant pas prendre le battant de la porte en pleine face et risquer de rater mon évasion. Comme je m'y attendais une clé tourna dans la serrure et la porte s'ouvrit brusquement, me trouvant derrière le malfrat ne put me voir, il s'aventura alors dans la pièce à pas de loup. C'est là qu'il vit les liens, qui avaient servit à attacher mes mains, au sol, l'homme mal rasé et au physique peu engageant se gratta consciencieusement l'entre jambe avant de s'agenouiller et de prendre la corde entre ses doigts graisseux.
Je m'approchais alors de lui tandis qu'il était toujours de dos, l'homme releva les yeux et dans le mur d'en face vis une grande ombre se déployer derrière lui, la mienne, il tenta de se relever. Mais je pris la corde que j'avais gardé avec moi et la mis autour de son cou, avant de serrer fort. L'homme essaya de se défendre, mais je l'en empêchais, m'agenouillant et poussant mon buste contre ses omoplates de sorte à donner plus de force à mon attaque tandis qu'il suffoquait, que des globules sanguins éclatés dans ses yeux et que je brisais son larynx. Ses nerfs bougèrent quelques secondes puis tout ses membres se relâchèrent n'opposant plus aucune résistance.
Trop d'adrénaline circulant dans mon corps pour comprendre que en deux jours je venais de tuer deux hommes, je me relevais laissant l'arme du crime sur place et d'une démarche saccadée m'aventurais dans les couloirs espérant gagner la sortie.
 
Les yeux embrumées je n'attachais aucune importance à ma discrétion trop occupée à marcher droit, mon c½ur battant la chamade alors que j'essayais désespérément de trouver la sortie de ce labyrinthe.
Car même si je n'avais pas été aussi perturbée, trouver la sortis m'aurais été impossible, il me fallut quelques minutes pour comprendre où j'étais. Je me trouvais dans l'antre du Joker, son repère, sa maison de fou où il était le seul roi, son théâtre d'horreur drôle, qu'il avait construit pour rendre fou ceux qui chercher à en sortir.
Je m'arrêtais à bout de souffle, dos contre un mur aussi crasseux que les autres, me faisant penser que ici la règle du mauvais goût et de la saleté était obligatoirement de rigueur.
Reprenant lentement ma respiration, je m'accordais à essuyer quelques larmes qui avaient échappé à ma vigilance s'écrasant sur mes joues, je n'avais pas pleurer depuis longtemps et j'étais là à chialer comme une gamine qui ne comprend pas la situation.
C'est là que j'entendis pour la première fois et non pour la dernière à mon grand malheurs, son rire démoniaque, malsain, bruyant et frénétique.
Je tournais sur moi même voulant trouver la source de ce rire démoniaque pensant qu'il était caché quelques part, à la place de la figure peinturlurée du Joker je trouvais un haut parleur, diffusant ce son effrayant. A bout de nerfs je le décrochais du plafonds avant d'envoyer mon pied dedans et de sauter dessus.
Le rire ce finit en un bruit métallique sinistre, pensant que j'allais enfin être tranquille, un autre rire se déclencha faisant faire un bon à mon c½ur dans ma poitrine.
Furieuse je cherchais un autre haut parleur que je trouvais au sol, je lui fit subir le même sort qu'au précédent, à peine se finit il que j'entendis encore une fois ce rire perturbant.
Animée par un rage singulière je massacrais le haut parleur le réduisant en miette, à bout de nerfs je m'assis lorsque je crut qu'il n'y en aurait pas de prochain. C'est alors qu'un ensemble de rire décalés les uns des autres, tous plus malsain et déplacés les uns que les autres retentirent, ils avaient tous le même détenteur : Le joker.
Résignée je m'accroupis dans un coin du couloir, protégeant mes oreilles alors que je tremblais, fronçant les sourcils, les yeux plissé, le visage déformé dans un masque de dégoût. Puis tout à coup alors que je m'attendais à rester là, perdant la notion du temps, plus rien, aucun son.
Je commençais d'abords par retirer mes mains de mes oreilles, essayant de discerner les bruits qui m'entouraient, je ne distinguais rien d'autre qu'un frottement régulier sur la moquette rouge du couloir.
Je compris aussitôt que je n'étais pas seul et que ce bruit correspondait effectivement à des pas se profilant vers moi.
Prudemment mes yeux s'ouvrirent sur un paysage chaotique, un panorama flou, les murs bougeant, les couleurs se mélangeant, les joues trempées de larmes, j'aperçus tout de même une tache violette au fond du couloir qui se mouvait dans ce décor vague.
J'avais beau essuyé, les perles salés qui dévalaient mes pommettes étaient toujours plus nombreuse, pourtant je ne ressentait aucun tristesse, ni de culpabilité, simplement cette immonde oppression et cette difficulté à rationaliser les choses.
Et alors que je tentais de ranger mes sentiments dans une case comme je savais si bien le faire pour me détacher de situations délicates, j'entendis un sifflement dans mon oreille.
Enfin c'est ce que je crus, avant de comprendre que ce n'était en fait qu'un rire démoniaque comme les précédents, non ce ne fut pas ce rire qui me fit tomber dans les pommes, c'est le fait de savoir que là maintenant il était accroupis à mes côtés avec un doigts humain autour de son cou portait comme collier. Ce doigt avait une bague en or reconnaissable entre mille, c'est comme ça que je compris qu'il appartenait à mon oncle.
Son rire résonna encore dans mes tympans alors que je sombrais dans les bras de mon pire ennemi, l'odeur du renfermé envahissaient mes narines collées au tissu de sa veste.
 
[...]
 
Lorsque je me réveillais pour la seconde fois consécutive dans l'antre du diable, j'avais les yeux collé, et je sentais encore les larmes sur ma peau si douce d'habitude. Mais au contraire de ce à quoi je m'attendais, je n'étais pas attachais et mon corps ne reposais pas par terre mais sur un divan à la désagréable odeur, mélangeant parfum bon marché et humidité.
Cette fois ci, je me fichais totalement de ma discrétion, mais je me relevais doucement, ne voulant pas me brusquer tandis que je frottais mais yeux irrités.
 
« AHAHHAHAH enfin j'ai cru que tu ne te réveillerai jamais. »
 
A l'entente de cette voix tout mon corps se tendit, je le fixais à présent lui, le maître de cette maison de fou : le Joker.
Il arrêta de rire pour à son tour venir planter ses pupilles sombres dans les miennes bleu clairs, joignant ses deux mains sur son bureau de façon à soutenir son menton.
Je ne parlais pas, lui non plus, il se contentais d'observer, tant mieux je n'étais pas prête à faire causette.
C'est alors que mon regards s'égara une seconde pour tomber, sur le si pittoresque collier du Joker, le doigt de mon oncle lui servant précédemment de parures, me faisant m'évanouir de tourments.
Sans m'en rendre compte je brisais notre contacte visuel et fixais ce majeur posé sur son bureau comme une décoration ou même un trophée.
Tandis que je me couper du monde, j'entendis pour la énième fois ce son faisant crisser mes oreille.
 
« Oh ça ! Dit il en prenant le doigt dans sa mains avant de l'observer comme si c'était pour lui aussi une découverte, une petite blagounette, fit il avant d'enlever l'anneau autour du doigt qu'il jeta par dessus son épaule comme quelques chose sans importance tout ceci avec un air détaché des plus troublants. »
 
Je le regardais les yeux arrondis par ce que je voyais, comment pouvait on être aussi sérieux et aussi insouciant l'instant d'après, et ces mimiques, d'où provenaient elles, j'avais l'impression d'être le dindon d'une farce sombre et creuse.
Il se remis à m'observer sérieusement avant d'éclater une nouvelle fois de rire et de dire très solennellement :
 
« vu la tête que tu fais, ça ne m'étonnerais pas que tu sois tombée dans le panneau. »
 
Je le regardais naïvement et il reprit, se mordant l'intérieur des joues :
 
« Hum...Je pensais que tu vais compris, mais apparemment non, hum, ce n'est pas le doigt de ton oncle. »
A cette phrase mon regard s'éclaira et inconsciemment je soufflais de soulagement avant de dire :
 
« Ce n'est pas un doigt humain... »
 
Je ne m'entendis même pas pensé ces mots, et ce fut lorsque je compris que je venais de m'adressais au Joker que je fermais la bouche en retenant ma respiration tandis que ses yeux se plissèrent et qu'un sourire malsain prit place sur son visage de clown.
 
« Si bien sur que c'est un doigt humain, de quelqu'un de très proche de toi d'ailleurs, dit il en me fixant. »
 
Mon visage perdit toute sa vivacité.
Le Joker se leva de sa chaise en cuir où à quelques endroits elle semblait s'être fait lacéré par des griffes, il se baissa et cacha quelque chose dans son dos avant de m'ordonner :
 
« Ferme les yeux. »
 
Mes paupières clignèrent, je n'assimilais pas ce qu'il me demandait.
Il se rapprocha alors de moi, une expression de folie indescriptible palpitant dans ses pupilles et colla sa bouche rouge sang à mon oreille avant de dire dans un bruit de bouche désagréable :
 
« Je t'ai demandé de fermer les yeux, alors....Tu m'obéis !! »
 
Je sursautais, paralysé par la peur je fis ce qu'il me demandais, je le sentis se déplaçais derrière moi, tandis qu'il fouillais dans me cheveux et qu'un poids se faisait au dessus de ma poitrine.
De stupeur j'ouvris les yeux pour voir cet affreux doigt humain, dégoulinant de sang sur mon vêtement gris, dont la phalange dépassé la peau putréfié accompagné d'une odeur nauséabonde qui fit remonter ma bill le long de mon ½sophage.
 
« Ceci est le doigt du TROISIEME HOMME QUE TU AS TUE SALE GARCE, hurla il en me collant le doigt sur le visage. »
Je me débattais et réussis à me défaire de sa prise avant de me précipiter sur l'accoudoir du canapé et de vomir tout ce que contenais mon estomac derrière le divan.
Le Joker me regardais avec une expression de dégoût avant de se tourner et de regagner son fauteuil en émettant un petit bruit signifiant toute sa répulsion envers ma personne.
Lorsque j'eus finit de me vider les intestins, il reprit :
 
« Pour avoir fait ce que tu as fait et ce que personne n'avait essayé de faire avant toi, c'est à dire me défier, tu aura deux punition, la première c'est de porter le doigt de ta victime autour de ton cou, ça t'apprendra à vouloir t'enfuir. Fit il le regard dur.»
 
Je restais muette, l'écoutant tout en m'essuyant le coin de la bouche, je n'étais pas en position de force et je le savais, je ne me risquerais pas à émettre une quelconque opposition aux choix de ce fou dangereux.
Il ne parlais plus me regardais attentivement comme s'il espéré que je dise quelque chose, toujours avec cette attitude d'enfant nonchalant entrain de jouer avec sa bouche.
J'attendais moi aussi, car il avait bien parler de deux sentence mais n'en avait émis qu'une seule.
Son regard s'adoucit et un fin sourire vint étirer ses lèvres meurtris, il mis ses pieds sur le bord de son fauteuil et se fit tourner, s'il n'avait pas été aussi fou et machiavélique je l'aurai pris pour un débile, seulement il n'engageait en rien le rire, la crainte plutôt.
Il s'arrêta progressivement et dit sérieusement :
 
« Au début, tu ne devais être qu'un otage, je t'aurai laissé pourrir dans une salle, mes hommes auraient un peu profiter de toi, tu serait devenue notre nouvelle attraction, tu aurais était nourris jusqu'à ce que nous obtenions ce pourquoi nous t'avons capturer. »
 
Le temps qu'il employé, me fit dire qu'il avait complètement changé ses plans initiaux, mais pourquoi et que comptait il faire de moi dans ce cas. J'avais appris une chose j'étais bien un otage, mais pourquoi moi ?
 
 
« J'imagine toutes les questions que tu doit te poser, dit il avec un sourire béat en agitant les mains, j'avoue que je ne pensais pas que tu nous donne tant de fil à retordre, reprit il sérieux, m'enfin bon je crois que c'est ça qui m'as plus chez toi, et qui m'as fait changer mes plans : ta fougue. Tu dois bien être aussi folle que moi pour oser t'opposer au Joker, fit il les yeux plein d'étoiles. »
 
Sur cette phrase il se leva de son trône et sans rompre le contacte visuel qui nous unissait vint s'asseoir à côté de moi sur le divan, il croisa les jambes sur le cuir et se mit en face de moi tandis que je garder la tête rivé sur le mur d'en face pour ne pas le regarder.
Il posa un bras sur le dossier du canapé, le laissant pendre de l'autre côté et commença son monologue :
 
« Je ne vais pas te cacher que au début tu m'as vraiment mis hors de moi, comment une petite garce dans ton genre pouvait avoir la prétention de m'échapper, à moi, le roi de Gotham, comment une personne, UNE FEMME en plus, pouvait croire une seule seconde qu'elle pouvait tuer mes
larbins. »
 
J'étais tétanisé de peur, je n'osais même pas respirer ou cligner des yeux.
 
« J'avais vraiment envie de te faire souffrir, te prendre et de t'étrangler à mains nu, juste pour t'apprendre les bonnes manière, dit il en mimant le geste avec ses deux mains. »
 
Après avoir, à plusieurs reprises, imiter la scène, il passa sa mains gantée violette dans ses cheveux vert et gras, puis il reprit :
 
« Et finalement, j'ai compris que tu pourrais m'être précieuse, pas seulement comme otage mais dans mon équipe... »
 
A ces mots je me raidit.
 
« Tu as quand même tué trois de mes hommes, de très bons hommes...Enfin pas si bon que ça puisque que tu les as abattus sans trop de difficulté, au début j'ai vraiment voulut t'écraser puis je me suis dit que je ne ferais que perdre un atout en faisant ça. Alors je me suis dit que pour réparer tes souillures tu devais faire une petite contribution en plus d'être un otage. »
 
Je commençais à comprendre ce qu'il voulait dire par là, je sentais déjà la bill me remontais, et pourtant je prier pour me tromper de toute mes forces.
 
« Enfin là où je veux en venir, dit il en faisant des gestes frénétiques avec les mains, c'est que maintenant tu es à mes ordres, fit il tout sourire. »
 
J'avais raison pourtant j'aurai mille fois préféré me tromper, je palis tout le sang disparu de mon visage, je ne voulais pas, non je ne voulais pas devenir comme lui, ou être simplement sous ses ordres.
 
« Non, je ne veux pas, dit je en chuchotant sans mon apercevoir. »
 
Je ne le regardais pas et pourtant je le sentis, je sentis les yeux du Joker se poser sur moi plus noir que jamais, il m'attrapa pas l'épaule brutalement et dit en tendant l'oreille :
 
« Qu'est ce que tu viens de dire, j'ai pas entendu. »
 
Je secouer la tête refusant de parler pour la seconde fois en quelques heures, il m'attrapa alors la mâchoire pour m'obliger à le regarder dans les yeux et prit son couteau dans sa main pour m'entailler l'épaule avec. J'émis une plainte.
 
« Je ne me répéterai pas une troisième fois, PARLE !!!!!!! »
 
Les yeux embrumé je criais :
 
« JE NE VEUX PAS TRAVAILLER POUR VOUS, Non je ne veux pas, jamais, finis je en chuchotant. »
 
Il desserra sa prise et se recula dans le canapé tandis que je respirais fortement regardant mon épaule et le sang qui se déversait de la plaie, tandis qu'il avait la tête baissé et qu'il riait dans sa barbe.
 
« Je me demande comment tu ose encore me défier..souffla t – il. »
 
Sans que je ne le vois venir, il envoya le revers de sa main en plein dans mon visage, la force de son coup, me mis à terre tandis que je frottais ma joue et luttais pour ne pas pleurer il se leva tranquillement et envoya son pied dans mes côté me faisant cracher ma salive sur la moquette puante.
Je toussais, et me tenais le ventre, il passa une main dans ses cheveux et dit :
 
« Qu'elle manque de politesse et moi qui m'étais promis de ne pas trop t'abîmer, si tu continue il va falloir te mater. »
 
Alors que je gémissait, recroquevillé, il s'accroupit en face de moi et dégagea ma longue chevelure blonde qui tombait sur mes yeux et il dit d'une voix doucereuse :
 
« Tu sais je ne suis pas sans c½ur, c'est toi qui m'oblige à être vilain, j'avais prévu de te laisser un certains laps de temps, mais puisque tu es si désobéissante je dois te punir, tu commence ce soir. »
 
Le Joker me caressais toujours les cheveux, il en attrapa une poignet fermement et tira dessus, faisant décollé mon buste du sol.
 
« Il va falloir que tu apprenne qui est le patron ici, ok ma belle, dit il en jouant avec son couteau, le regardant attentivement ne posant à aucun moment les yeux sur moi. »
 
Il relâcha mes cheveux et retourna à son fauteuil tandis que moi je rester en position f½tal, les yeux embrumé par les pleurs que je retenais. Le Joker siffla et deux hommes entrèrent dans la pièce, il dit :
 
« Je veux qu'elle sois prête pour ce soir. »
 
Personne ne dit rien, se contentant d'acquiescer, les deux m'attrapèrent par les bras et me soulevèrent sans ménagement alors que je gémissais de douleur, avant de sortir de la pièce il ajouta :
 
« Au fait, je ne veux en aucun cas qu'ont la touche, c'est clair ?
Bien patron, dirent les deux en ch½ur. »
 
Mais le Joker ne sembla pas en prendre compte, comme si cette phrase était inutile, que même sans cela l'ordre aurait été respecter, il se contentait de regardais son couteau avec un air rêveur.
 
 
 
Commentaire de l'auteur : 
 
Voila voila un chapitre que j'ai vraiment pris plaisir à écrire, d'ailleurs désolé au passage pour cette,longue attente le 4 eme devrait sortir dans pas très longtemps puisque je me sens inspiré et que c'est les vacances, j'espère qu'ils vous plait lâchez les coms'.                                    
 
                                                                                                                Bisous votre servante bourriquet ^^
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#Posté le mardi 22 avril 2014 15:29

LES MEILLEURS BLOGS !!!!!

Salut bande de petites chèvre ! 
 
Comme je vous l'ai dit au début de mon blog, si j'ai décidé de créer ma propre fan fiction c'est parce que je trouvais qu'il n'y en avait que très peu de compétente, enfin chacun c'est gout. Les histoires se répétait, il n'y avait pas de constructions, le personnage du Joker était vraiment mal interprété, certains l'ont vraiment charcuté. 
Mais attention mon esprit critique n'est pas exagérer et c'est pour ça que je créer cet article pour vous prouver que je peux trouvais des fictions et des blogs très simple et pourtant geniallissime. Je vais vous envoyez vers des blogs qui m'ont littéralement éclaté et que je trouve super, bien sur je ne m'amuserai pas à les noter ce serait se trouver au dessus de tout, néanmoins le dernier lien, et je le préciserai, sera la fictions qui m'as le plus touché, que j'ai trouver exacte, magnifique et tellement original. Sans plus attendre les voici : 
 
- Jokersfictions 
 
- tardis-and-whysoserious 
 
- jokerfan
 

Fanfic Fr - Un fol amour (Harley Quinn) (Format imprimable)

Ce chapitre provient de FANFIC FR http://www.fanfic-fr.net

via : www.fanfic-fr.net


 

[Fanfiction] Maquillez votre sourire !

[Fanfiction] Maquillez votre sourire !

[Fanfiction] Maquillez votre sourire !

via : monde-ecriture.com


 
- ET la dernière et la meilleure de toutes jusqu'à ce jour ;

Le Joker et l'Arlequin Chapter 1: 00 Ce qu'il advint du Joker, a batman begins/dark knight fanfic | FanFiction

Titre : Le Joker et l'Arlequin Auteur : Le Black Sheep Fandom : Batman Begins & Batman : The Dark Knight Couple : Joker x Harley Rating : M pour violences physiques et psychologiques. Disclaimer : Le Joker, l'épouvantail et Falcone appartiennent à Bob Kane et Bill Finger, Harley Quinn appartient à Paul Dini et Bruce Timm. Avertissements : Suite presque directe de The Dark Knight. Rencontre entre le Joker et Harley Quinn. Mes connaissances sur l'univers de Batman se limitent aux deux récen...

via : www.fanfiction.net


 
 
Voila voila j'espère que cela satisfera vos envies, personnellement je l'ai trouve génial et bourré de rebondissements, de sentiments, de passion et bien sur de violence.; 
J'en profite pour vous dire que je ne posterai pas d'article pendant quelques temps car je pars en Espagne et je déménage à la suite. J'espère que vous serez impatient ça prouve que vous aimez ce que je fait. 
 
                                                                                                                                      Bourriquet ^^




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#Posté le samedi 22 mars 2014 12:59

Modifié le samedi 22 mars 2014 14:53

When i'm angry, i became beast !

 
J'ai toujours entendu ce même discours
Sortant de ces même bouches béantes . 
Mais les sons ne m'atteignent pas, 
Ils sont encres invisible. 
Qui prie et s'arrête sur le bas ventre de la bête ? 
Je vous ferez  vous concentrez sur l'ignominie qui pousse en vous
Chaque jours . 
Je révolterais les âmes en peine, 
Perdu ou tout simplement sans paix. 
Elles se lèveront n'ayant trouver leur places 
Dans un monde de dépravation et de corruption,
Ou en apparence les règles parfont leur éducation 
 
 
- Bourriquet pas content 
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#Posté le mercredi 04 juin 2014 06:51

Ses archives (15)

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      J'ai toujours pensé que face à se genre de...
    mar. 22 avril 2014
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    sam. 15 mars 2014
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